A la demande des éditions Géorama, Hervé embarque seul en plein hiver sur le plus grand train du monde et écrit à son retour Les sirènes du Transsibérien.
« On dit que c'est un train de légende, dit-il, mais à mon sens, c'est plutôt un train de réalités, passées et présentes, avec une histoire faite de sang et de larmes, avec des voyageurs en chair et en os. De Brest à Vladivostok, c'est à dire des deux points les plus opposés de l'Eurasie, mon périple n'aura duré qu'une quinzaine de jours. Quinze jours à travers la Sibérie, au cœur de l'hiver le plus cinglant. De quoi mourir de froid et d'ennui, et bizarrement, on n'en meurt pas. Bien au contraire. »
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